04 septembre 2012
Délire

Délire parce que fatigue et manque de sommeil, voilà tout. En plus d'avoir un ouvrier dans la maison, depuis deux jours, je vide des boîtes, remplis les bibliothèques. Exaltation et aperçus de bouts de vie qui se défilent devant mes yeux. Abus extrêmes puisque je me couche aux petites heures.

Le jour de congé de la Fête du Travail, fifille nous a entrainé au Biodôme. Pour contrer la fatigue, je mange, et au restaurant. Ce qui n'arrange rien. Impression de glissade avec effets immédiats.

Ce soir, soirée des élections. Palpitations et valses des surprises. «Gagner» mes élections avec impression d'avoir perdu. Coup de théâtre tragique en fin de soirée. Mais où va-t-on?

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