20 février 2012
La liseuse

Pas celle de Fragonard, ni l'une de Renoir, mais celle de Paul Fournel. Que j'ai commandée et lue pratiquement d'une seule traite, sans remords pour le Michel Tremblay que je délaisse.

Le lien précédent rend très bien ce qu'est ce livre. Il me fait retrouver une lubie que j'ai entretenu longtemps: si je peux être en prison - mais comment faire pour y être - je pourrais y lire tout le temps, jour et nuit, sans excuse, et en toute liberté. Ce rêve, le personnage du livre, le réalise à la fin. Après avoir fait mourir sa femme et ... ses appareils technologiques, pour les besoins de la cause. Ce que je suis bien loin d'être prête à sacrifier.

Aujourd'hui, réunion des affaires collectives toute la journée. J'étais alerte, très présente aux discussions. Comme je ne conduis pas pour cause d'étourdissements, Lui me véhicule. Nous avons même trouvé le moyen de passer à ce centre commercial pour que j'achète une parure à m'accrocher au cou, de quoi accompagner cette robe à paillettes. Le collier a coûté plus cher que la robe, mais me plaît assez.

Ce soir, grenouillage sous la surface du côté du dossier. Irruption dans l'avant-scène de personnages haut en couleur.

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