02 avril 2017
Pas de poisson d'avril
Aujourd'hui c'est jour de récupération. Hier c'était la virée à Québec pour offrir nos condoléances à la fille de ma défunte amie. Vingt minutes de file d'attente, une embrassade en une minute avec la jeune femme, plus cinq minutes d'écoute de l'orgue qui ponctuait le début des prières. Déjà en voyant la photo souriante de mon amie, j'étais émotive. Nous avons quitté quand le prêtre a commencé à parler. Inutile de s'abimer plus loin dans l'émotivité. Même si j'ai toujours aimé la solennité des églises.
Hier donc, aller retour à Québec. Retour jusqu'à la maison de campagne pour visiter la petite famille qui s'y est installée depuis la veille, les petites retrouvant leur nid pour dormir dans notre chambre et la liberté de chanter faux et à tue-tête, sans crainte de déranger les voisins. Et puis nous sommes rentrés en ville depuis hier soir donc.
Ce soir, les trois fils sont venus souper avec petite copine. Pour ne pas cuisiner, j'ai pensé à la fondue: la chinoise, suivi de celle au fromage puis celle au chocolat. Crème brûlée en prime. Belle ambiance.
En filigrane, une mauvaise nouvelle: cancer très grave de la belle-mère d'une de mes soeurs.
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