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Il y a longtemps que je n'ai pas ressenti le stress comme ce que j'ai vécu au cours des dernières semaines. Le stress comme une vague de fond qui gronde sans que je le laisse me renverser mais il me bouffe quand même dans mes tripes.
D'abord il y a eu cette assemblée générale de la SBPM au cours de laquelle je me suis prononcée. Mes paroles certes mais si je ne me suis pas engagée à une tierce personne peut-être que je ne les aurais pas prononcées? Depuis il y a eu des froids et des bouderies qui me tiennent sur le qui-vive.
Depuis, il y a eu le souper de Noël qui s'est bien passé, je n'ai pas été confrontée ouvertement mais il y a des courants d'air froid ... Une certaine explication viendra bientôt, dans deux jours, alors que Lui et moi se disent que je n'ai de compte à rendre à personne!
Petit voyage de deux jours très intéressant en bord de mer dans le Maine. Depuis nous avons trouvé un autre voyage d'une semaine en Floride pour janvier. Le hic c'est que le vol est reporté au lendemain mais je n'arrive pas à trouver trace de l'hôtel que j'avais réservé. À force d'en discuter avec Lui, discussion houleuse et impatiente de ma part, j'ai très mal dormi il y a deux jours. Au pire aller ce serait deux nuits d'hôtel dispendieuses sans que nous n'en profitions mais je me suis tellement tracassée, me doutant même de ma lucidité, que cela prouve la force de cette vague de fond qui me ronge.
Aujourd'hui, fils premier est venu à la rescousse, trouvant comme par miracle la réservation d'hôtel.
Tergiversations en longueur pour convenir enfin d'un souper de Noël avec nos enfants, en plus d'un 48 heures où nous serons tous ensemble à la campagne. L'ambiance des fêtes se lève difficilement, plombée par ces virus qui courent, le corona, l'influenza et le virus respiratoire redoutable pour les enfants surtout.
Il y a de ces mauvaises nouvelles de près ou de loin qui affectent, des décès aussi. Il me semble que l'hiver sera dur cette année.
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