10 octobre 2005
Froid de canard!

La fenêtre dans la chambre du fils est restée ouverte toute la nuit! Ce matin, le perchoir est glacial. Toute la journée, le perchoir n'arrive pas à se réchauffer. Et moi non plus!

Aujourd'hui, mon amie de Boston a téléphoné. Longue discussion. Ensuite, ce fut mon amie de Genève, une autre discussion encore. Sans compter que mon amie de Virginie a téléphoné hier et la cousine des Laurentides de mon mari a aussi donné signe de vie. Entre le froid du perchoir et la chaleur au bout du fil, la journée a vite passé.

Ce soir, je me suis mise au téléphone pour mes affaires collectives. Du bénévolat pur et dur, puisque je dois rejoindre des membres qui n'ont pas renouvelé leur adhésion. Il y a une qui me reporte au mois prochain, un autre qui se défile en me disant de rappeler dans une heure, pour ensuite tenir sa ligne occupée constamment en décrochant le combiné, ou en se connectant sur la toile, je ne sais pas. D'autre part, il y a cette autre qui s'est dépêchée de me donner comme ça, au téléphone, son numéro de carte de crédit, sans vérification sur la validité de mon appel. Du travail à longue haleine!

Et puis je discute avec les fils et leur père. Les premiers ne veulent pas aller habiter la nouvelle propriété, par pur réflexe de ceux qui s'agrippent au bord du nid, ne voulant pas sauter, de peur de s'isoler. Leur père commence à apprivoiser l'idée, avec une bonne motivation en tête. Et moi qui m'inquiète, peut-être trop, de tout et pour rien!

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